L’édition limitée de À L’heure où les dieux dorment encore, éditée à 150 exemplaires se présente sous la forme d’un coffret réunissant : le livre À L’heure où les dieux dorment encore (304 pages) relié sous une couverture portant un marquage et une vignette collée, un carnet de portraits supplémentaires de 32 pages et un justificatif de tirage numéroté de 1/150 à 150/150 et signé par l’auteur.
C'est un hymne au dessin d'observation pour échapper aux clichés et tenter de saisir la beauté du monde telle qu'elle se présente à nos yeux.
France Inter, Le 7/9, 9 décembre 2021
L'autobiographie imaginaire de Jonathan bouclée en beauté.
Vincent Coste, Midi libre, 31 octobre 2021
C’est absolument sublime.
France Inter, La Librairie Francophone, Emmanuel Khérad, 6 novembre 2021
C’est un beau livre de Cosey. Un livre de sa main, serait-on tenté d’écrire. Car rien ne vient troubler son verbe, son écriture ni son dessin, dans cet ouvrage magnifique publié par Daniel Maghen
Vincent Bernière, Les Cahiers de la BD, octobre - novembre 2021
Des images fabuleuses.
RTBF, Le Mug, Thierry Bellefroid, 8 novembre 2021
Un livre d'art, d'esthétique spirituelle, de poésie épique et graphique. Dans cette œuvre épanouie comme la fleur de lotus, l’auteur affirme qu’il aimerait, comme Jonathan, retrouver la mémoire, son éveil, sa libération.
Le Soir (Belgique), 13 novembre 2021
Un bel ouvrage entre carnet de route et journal intime.
Télérama, 27 novembre 2021
Un beau livre, telle une exposition de papier, rassemblant croquis, aquarelles, souvenirs et notes de création manuscrites.
La Croix, Stéphane Bataillon, 4 décembre 2021
Un magnifique album, sorte de mise en valeur de ses carnets, qui nous raconte ses périples, ses références BD mais aussi son approche de la couleur, dont les fameux bleu et jaune qui sont la marque de Cosey.
Michel Pralong, Le Matin (Suisse), 29 octobre 2021